Il y a maintenant plus d’un an que la pandémie de coronavirus est apparue, s’est répandue et a affecté la vie de milliards d’individus sur terre. Le 29 mars, l’Agence France-Presse titrait : « Pandémie : quatre humains sur dix incités ou astreints à se confiner », du jamais vu. Des rues désertes, des cinémas fermés, des gens cloîtrés chez eux, certains seulement entre quatre murs avec pour simple vue sur l’immeuble d’en face. Le confinement ne s’est pas passé de la même façon pour tout le monde. Le 25 avril 2020, le Parisien titrait « Confinement : pour les citadins « en exil », le bonheur est dans le pré? ». Parmi ces citadins, beaucoup de Parisiens ayant eu la chance de s’offrir un confinement à la campagne, à l’air libre. Mais pour d’autres il est impossible de changer de cadre, n’ayant pas de résidence secondaire ou de famille chez qui séjourner et se retrouvant quelquefois confinés « dans des logements parfois insalubres, et soumis à des situations de violences
intrafamiliales ». Parmi ceux-là des personnes en situation